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Un nouveau dispositif dans la thérapie multimodale de la douleur

La cabine Elosan C1 est un dispositif médical de classe IIa. Il complète les traitements antidouleur habituels et est utilisé en complément des traitements multimodaux, principalement médicamenteux.

 

La thérapie multimodale de la douleur est la forme de thérapie actuelle scientifiquement fondée pour le traitement d’états douloureux chroniques. La thérapie Elosan vient la compléter.

Usage médical

Usage médi­cal

En appli­quant une forte charge élec­tro­sta­tique sur l’en­semble du corps humain, la thé­ra­pie vise à sou­la­ger les dou­leurs chro­niques, en par­ti­cu­lier les rhu­ma­tismes des tis­sus mous et les dou­leurs rhu­ma­tis­males.

La thé­ra­pie en cabine Elo­san vise à:

  • réduire de manière signi­fi­ca­tive les dou­leurs chro­niques et aiguës, comme c’est sou­vent le cas dans les mala­dies rhu­ma­tis­males ou les trau­ma­tismes.
  • amé­lio­rer la qua­lité de vie des patients et dimi­nuer leur prise d’an­tal­giques.

Cette thé­ra­pie com­plète une thé­ra­pie de la dou­leur qui est cou­rante aujour­d'hui. Il est uti­lisé en com­plé­ment d'un trai­te­ment mul­ti­mo­dal, mais essen­tiel­le­ment médi­ca­men­teux.

Uti­li­sa­tion – indi­ca­tion

La thé­ra­pie Elo­san est uti­li­sée comme un dis­po­si­tif phy­sique inno­vant au regard des concepts conser­va­teurs et mul­ti­mo­daux cou­rants de trai­te­ment de la dou­leur, pour trai­ter presque tous les types de dou­leurs chro­niques, mais aussi les états dou­lou­reux aigus en vue de pré­ve­nir leur chro­ni­ci­sa­tion. Les affec­tions dou­lou­reuses chro­niques ont diverses causes. Les formes les plus cou­rantes sont:

  • dou­leurs dor­sales
  • dou­leurs rhu­ma­tis­males
  • dou­leurs neu­ro­pa­thiques
  • fibro­my­al­gie (rhu­ma­tisme des tis­sus mous)
  • dou­leurs dégé­né­ra­tives
  • cépha­lées
  • dou­leurs fan­tôme

Diverses études ont éga­le­ment mon­tré une effi­ca­cité dans les cas de troubles mus­culo-sque­let­tiques aigus. La thé­ra­pie Elo­san est par­ti­cu­liè­re­ment pro­met­teuse pour les tableaux cli­niques que sont les syn­dromes cer­vi­cal, lom­baire et épaule-bras.

Contre-indi­ca­tion

Tous types d’im­plants élec­triques ou élec­tro­niques tels que:

  • sti­mu­la­teurs car­diaques
  • défi­bril­la­teurs
  • défi­bril­la­teurs car­dio­ver­teurs implan­tés
  • les pompes élec­triques comme les pompes à insu­line.

Les crises d’épi­lep­sie non trai­tées sont éga­le­ment une contre-indi­ca­tion stricte. Pour toute autre consigne ou mise en garde, veuillez consul­ter le mode d’em­ploi.

Aspects physiologiques

Phy­sio­lo­gische Aspekte

La force du champ élec­trique sur les por­teurs libres de charge élec­trique entraîne un mou­ve­ment de charge. On peut sup­po­ser qu’un très fort champ élec­tro­sta­tique continu enve­lop­pant le corps, comme c’est le cas dans la cabine Elo­san, agit sur les couches externes de la peau pour­vues de noci­cep­teurs, jus­qu’aux cel­lules situées sous le tissu conjonc­tif.

En fonc­tion de la charge des ions, cette force peut inhi­ber ou accé­lé­rer le mou­ve­ment des ions. Elle peut donc influen­cer tant le poten­tiel de repos de la mem­brane que le déve­lop­pe­ment et la conduc­tion des poten­tiels d’ac­tion (par exemple dans les cel­lules ner­veuses).

Cela pour­rait expli­quer l’ef­fi­ca­cité sur la dou­leur, obser­vée dans les études menées jus­qu’ici, comme étant un effet de force phy­sique au moment de l’ex­ci­ta­tion des noci­cep­teurs ou sur la conduc­tion des poten­tiels d’ac­tion dans les cel­lules ner­veuses.

Lieu d’installation et espace requis

Lieu d’installation et espace requis

La cabine peut être installée dans n’importe quelle partie d’un cabinet ou d’une clinique. La pièce doit être suffisamment éclairée et climatisée pour le traitement. Il faut viser une hygrométrie relative comprise entre 30% et 80%.

Une prise standard de courant alternatif de 120 V ou 230 V doit être disponible le plus près possible de la cabine. La puissance de raccordement électrique nécessaire n’est que de 50 watts environ. Idéalement, la cabine doit être placée dans un coin de la pièce afin de prendre le moins de place possible. L’espace nécessaire est d’environ 2,20 × 2,20 mètres. La hauteur de la cabine est de 2,30 mètres.

La cabine est livrée en éléments préassemblés; elle est montée et mise en service par les techniciens de service d’Elosan AG ou par des spécialistes formés. Les utilisateurs sont ensuite formés à son utilisation.

Déroulement de la thérapie Elosan

Déroulement de la thérapie Elosan

  1. Le/la patient-e doit porter des vêtements légers et secs et des chaussures de ville, ses mains doivent être propres.
  2. Le/la patient-e entre dans la cabine par la porte latérale et se tient debout au milieu de la cabine.
  3. L’utilisateur(-trice) s’assure que le/la patient-e tient la poignée des deux mains.
  4. La cabine est transparente par endroits, ce qui permet de veiller sur le/la patient-e pendant toute la durée du traitement. Une séquence de traitement automatique se compose de trois cycles de charge et de décharge au potentiel de terre.
  5. La séquence peut être interrompue à tout moment, à l’utilisation du commutateur rotatif ou à l’ouverture de la porte.

Une séquence de traitement dure huit minutes. En pratique, on peut traiter environ quatre patient-e-s par heure.

Méthodologie d’utilisation

Métho­do­lo­gie d’uti­li­sa­tion

Compte tenu du carac­tère nou­veau du trai­te­ment en cabine Elo­san, il est néces­saire que l’uti­li­sa­teur(-trice) reste vigi­lant-e, en tenant compte du fait que le/la patient-e peut mani­fes­ter tant une cer­taine crainte de l’élec­tri­cité qu’une anxiété avant le trai­te­ment due au fait de se retrou­ver dans une cabine fer­mée. On peut s’at­tendre à un taux de non-réponse d’en­vi­ron 30% avec cette méthode de trai­te­ment élec­tro­phy­sique, comme avec de nom­breux médi­ca­ments. Lors des trai­te­ments effec­tués pen­dant le déve­lop­pe­ment de la cabine Elo­san, le schéma de trai­te­ment sui­vant s’est avéré judi­cieux:

Début  
Deux trai­te­ments heb­do­ma­daires pen­dant deux à trois semaines

Après quatre à six trai­te­ments
Eva­lua­tion 1, effi­ca­cité géné­rale:

  • patient-e-s répon­dant-e-s
  • patient-e-s non-répon­dant-e-s (si aucune amé­lio­ra­tion après trois à cinq trai­te­ments)

Eva­lua­tion du/de la patient-e répon­dant-e
Eva­lua­tion 2, sur des patient-e-s ayant répondu posi­ti­ve­ment au trai­te­ment:

  • degré d’ef­fi­ca­cité:  
    dimi­nu­tion / sup­pres­sion de la dou­leur
  • tolé­rance du trai­te­ment:  
    effets secon­daires / pas d’ef­fets secon­daires
  • autres chan­ge­ments, par exemple: 
    bien-être géné­ral, capa­ci­tés accrues ou amé­lio­ra­tion du som­meil

Pour­suite des trai­te­ments
Pour­suite du trai­te­ment comme suit:

  • un seul trai­te­ment par semaine ou
  • des lots de trai­te­ments, par exemple dix trai­te­ments en l’es­pace de cinq semaines, sui­vis d’une pause plus longue

Remarques par­ti­cu­lières
S’agis­sant de cer­taines affec­tions dou­lou­reuses chro­niques, un trai­te­ment à long terme d’une à deux fois par semaine s’est avéré effi­cace.

Efficacité du traitement

Études et publi­ca­tions

Pour l'au­to­ri­sa­tion en tant que pro­duit médi­cal ainsi que dans le cadre du PMCF, dif­fé­rentes études ont été réa­li­sées afin de cla­ri­fier l'ef­fi­ca­cité, la sécu­rité et le méca­nisme d'ac­tion. 

Une pre­mière étude cli­nique sur une popu­la­tion de dou­leurs chro­niques confirme une bonne effi­ca­cité dans la réduc­tion de dif­fé­rents tableaux de dou­leurs chro­niques. Sur cette base, l'étude cli­nique de suivi menée dans 8 centres montre des résul­tats tout aussi bons.

La thé­ra­pie Elo­san a effec­ti­ve­ment une influence posi­tive sur le vécu de la dou­leur dans dif­fé­rents tableaux de dou­leurs chro­niques, ce qui est très encou­ra­geant compte tenu de la résis­tance au trai­te­ment des dou­leurs chro­niques. Compte tenu de l'im­pact social et éco­no­mique pré­caire actuel des mala­dies dou­lou­reuses chro­niques, des moda­li­tés de trai­te­ment alter­na­tives effi­caces, peu coû­teuses et pauvres en effets secon­daires sont de la plus haute impor­tance.

Le défi sup­plé­men­taire réside dans le fait qu'en rai­son de la nou­veauté de la forme de trai­te­ment, il n'existe pas encore d'études de base sys­té­ma­tiques sur les méca­nismes d'ac­tion sous-jacents. Le pro­jet Inno­suisse pré­voit donc une étude sys­té­ma­tique du méca­nisme d'ac­tion.

Com­men­taire de la res­pon­sable de l'étude d'au­to­ri­sa­tion

"Le trai­te­ment avec la thé­ra­pie Elo­san cabine C1 élar­git judi­cieu­se­ment l'éven­tail des options thé­ra­peu­tiques pour les patients souf­frant de dou­leurs chro­niques et aiguës en leur offrant une pos­si­bi­lité de trai­te­ment phy­sique effi­cace, sans effets secon­daires, bien tolé­rée et non médi­ca­men­teuse. La thé­ra­pie ne prend pas de temps, peut être délé­guée et n'est pas contrai­gnante ou dan­ge­reuse pour les patients".

Dr. med. Petra Hoe­de­rath
Res­pon­sable du trai­te­ment mul­ti­mo­dal de la dou­leur
Cli­nique Hirs­lan­den Ste­phan­shorn, Saint-Gall

Effi­ca­cité d'Elo­san

2021-2022, Étude cli­nique NCT04818294
8 centres avec 143 patient­sEs­sai cli­nique pros­pec­tif, non inter­ven­tion­nel, mul­ti­cen­trique (étude de phase IV) pour contrô­ler l'ef­fi­ca­cité du trai­te­ment avec la cabine Elo­san chez des patients souf­frant de dou­leurs chro­niques, dans la pra­tique de centres de trai­te­ment de la dou­leur cli­niques ou ins­tal­lés.

2021-2023, Inno­suisse 51821.1 IP-LS, Uni­ver­sité de Zurich
100 sujets sains par­ti­ci­pant à un pro­jet de recherche fon­da­men­tale 
En coopé­ra­tion avec l'Uni­ver­sité de Zurich, des recherches sont menées sur la ques­tion cri­tique de l'in­fluence fon­da­men­tale du champ élec­tro­sta­tique sur le corps humain sain. Les effets sont étu­diés à trois niveaux, à savoir: phy­sio­lo­gique péri­phé­rique, neuro-phy­sio­lo­gique et com­por­te­men­tal.

2018-2019, étude d'au­to­ri­sa­tion EUDA­MED n° CIV-18-01-022865
3 centres avec 42 patients
Essai cli­nique ran­do­misé, ouvert et com­pa­ra­tif visant à démon­trer l'ef­fi­ca­cité d'une appli­ca­tion élec­tro­sta­tique de haute ten­sion de courte durée sur l'en­semble du corps pour sou­la­ger les dou­leurs chro­niques. Toute per­sonne souf­frant de dou­leurs chro­niques, comme c'est sou­vent le cas dans les mala­dies rhu­ma­tis­males ou les trau­ma­tismes, peut être incluse dans l'étude.

2017-2018, études de fai­sa­bi­lité explo­ra­toires
36 et 18 patients
Des per­sonnes souf­frant de syn­dromes de la colonne ver­té­brale, de poly­neu­ro­pa­thie, de dou­leurs rhu­ma­tis­males ainsi que de dou­leurs post-opé­ra­toires ont été incluses. Les études ont per­mis d'ob­te­nir une nette amé­lio­ra­tion chez les patients.

1980-1981, études explo­ra­toires de l'in­ven­teur Dr. B. Rein­hardt
17 patients
Chez les patients trai­tés, on a pu obte­nir en grande par­tie l'ab­sence de dou­leurs. La fré­quence des trai­te­ments se situait entre 2 et 14 trai­te­ments indi­vi­duels (3 x 20 sec.). Les mala­dies étaient le syn­drome des ver­tèbres cer­vi­cales et lom­baires ainsi que la gonar­throse/l'ar­thrite.

Publications

Publi­ca­tion de l’étude cli­nique aux édi­tions Sprin­ger 01.2020

Entre-temps, les véri­fi­ca­teurs des édi­tions Sprin­ger ont validé la publi­ca­tion de l’étude cli­nique; elle est désor­mais en ligne et sera publiée comme suit:

a) Sup­port d’im­pres­sion revue «Der Schmerz», numéro 1/2020, février
b) Article «Online First» de Sprin­ger
c) Pub­Med

Erfol­greiche Stu­die Publi­ziert unter der Lei­tung der Schul­thess Kli­nik

Die kürz­lich beim Sprin­ger Ver­lag publi­zierte Stu­die unter der Lei­tung der Schul­thess Kli­nik hat gezeigt, dass die Elo­san The­ra­pie eine nütz­liche Ergänzung zur phar­ma­ko­lo­gi­schen und phy­sio­the­ra­peu­ti­schen Schmerz­be­hand­lung ist.

Project de recherche d'Innosuisse

Coopé­ra­tion avec l'Uni­ver­sité de Zurich

En col­la­bo­ra­tion avec des scien­ti­fiques de l'Uni­ver­sité de Zurich, Elo­san AG a sou­mis un pro­jet de recherche à Inno­suisse, l'agence suisse pour la pro­mo­tion de l'in­no­va­tion. Le pro­jet d'in­no­va­tion "Effet neu­ro­bio­lo­gique de l'ap­pli­ca­tion élec­tro­sta­tique d'Elo­san" a pour objec­tif prin­ci­pal d'étu­dier scien­ti­fi­que­ment le méca­nisme d'ac­tion de la thé­ra­pie Elo­san.

Nous sommes très fiers que la demande de sub­ven­tion d'In­no­suisse ait été approu­vée en sep­tembre 2021. Elle confirme notre tra­vail et nous aidera à déve­lop­per une base scien­ti­fique. Les neu­ros­cien­ti­fiques doivent recher­cher et prou­ver scien­ti­fi­que­ment les méca­nismes d'ac­tion de l'ap­pli­ca­tion d'une haute ten­sion élec­tro­sta­tique.

Étude de l'in­fluence du champ élec­tro­sta­tique sur le corps humain

La cabine déve­lop­pée par Elo­san AG et approu­vée par le TÜV Rhein­land agit par l'ap­pli­ca­tion de champs élec­tro­sta­tiques de 50'000 volts. Son effi­ca­cité a été démon­trée dans des études sur des patients souf­frant de dou­leurs chro­niques et per­met en outre d'amé­lio­rer le som­meil, le bien-être géné­ral et la vita­lité. Mal­heu­reu­se­ment, on en sait très peu sur les véri­tables méca­nismes d'ac­tion. Que se passe-t-il exac­te­ment dans le corps sous l'ef­fet de la haute ten­sion élec­tro­sta­tique sur la peau ?

En coopé­ra­tion avec l'uni­ver­sité de Zurich, cette ques­tion cri­tique pour le suc­cès du mar­ché, à savoir l'in­fluence fon­da­men­tale du champ élec­tro­sta­tique sur le corps humain sain, est désor­mais abor­dée. Les effets sont étu­diés à trois niveaux, à savoir : phy­sio­lo­gique péri­phé­rique, neuro-phy­sio­lo­gique et com­por­te­men­tal. Elo­san AG dis­pose ainsi d'une base d'ar­gu­men­ta­tion scien­ti­fi­que­ment fon­dée pour les méca­nismes d'ac­tion de l'ap­pli­ca­tion d'une haute ten­sion élec­tro­sta­tique. Ces infor­ma­tions sou­tiennent une éven­tuelle exten­sion du champ d'ap­pli­ca­tion et nos demandes de rem­bour­se­ment par les caisses d'as­su­rance mala­die.

Pro­jet Inno­suisse n° 51821.1 : "Effet neu­ro­bio­lo­gique de l'ap­pli­ca­tion élec­tro­sta­tique d'Elo­san".

Intégration de la cabine Elosan dans votre concept de thérapie de la douleur

Faci­lité d’uti­li­sa­tion

La thé­ra­pie en cabine Elo­san relève de la nou­veauté. Les méde­cins, spé­cia­listes et pro­fes­sion­nels de la santé en sont les uti­li­sa­teurs. Un trai­te­ment effi­cace, qui ne dure que très peu de temps, qui est facile à réa­li­ser et qui peut être délé­gué, tels sont les avan­tages de la thé­ra­pie Elo­san. Une séquence de trai­te­ment ne dure que quatre minutes. En pra­tique, on peut trai­ter envi­ron six patient-e-s par heure.

La cabine Elo­san offre une mesure élec­tro­phy­sique effi­cace dans le trai­te­ment des dou­leurs aiguës et sur­tout chro­niques. C’est un com­plé­ment idéal dans le cadre des concepts de trai­te­ments mul­ti­mo­daux inter­dis­ci­pli­naires.

Lieux d’uti­li­sa­tion

La thé­ra­pie phy­sique en cabine Elo­san se prête à l’uti­li­sa­tion en cli­nique de la dou­leur, en centre de trai­te­ment de la dou­leur et en ser­vice ambu­la­toire spé­cia­lisé comme fai­sant par­tie du concept thé­ra­peu­tique, en offrant effi­ca­cité et rapi­dité en plus d’un bon rap­port coût-béné­fice.

Les centres uni­ver­si­taires
Les centres uni­ver­si­taires de trai­te­ment de la dou­leur, qui sou­haitent inclure la thé­ra­pie de la dou­leur Elo­san dans leurs concepts scien­ti­fiques et leurs études cli­niques et publier à ce sujet, ont la pos­si­bi­lité d’ac­qué­rir la cabine à des condi­tions favo­rables.

Centres régio­naux de trai­te­ment de la dou­leur
Les méthodes telles que la thé­ra­pie Elo­san viennent com­plé­ter le spectre de trai­te­ments des centres régio­naux de trai­te­ment de la dou­leur en tant que com­po­sante phy­sique du concept thé­ra­peu­tique, sans effets secon­daires.

Cabi­nets médi­caux et ser­vices ambu­la­toires de trai­te­ment de la dou­leur
La thé­ra­pie en cabine Elo­san peut idéa­le­ment com­plé­ter ou accom­pa­gner une thé­ra­pie stan­dard et être pra­ti­quée avec l’at­tente de réduire la médi­ca­tion.

Coûts, béné­fices et amor­tis­se­ment

La thé­ra­pie en cabine Elo­san est, comme nou­velle com­po­sante de la thé­ra­pie de la dou­leur, encore peu connue. Elle ne figure donc pas encore dans le cata­logue des trai­te­ments des caisses-mala­die légales. Par consé­quent, les patient-e-s sont fac­turé-e-s indi­vi­duel­le­ment.

Donc en tant que pres­ta­tion de santé indi­vi­duelle, les thé­ra­peutes inté­ressé-e-s peuvent s’at­tendre à un bon rap­port coût-béné­fice et à un amor­tis­se­ment rela­ti­ve­ment rapide sous condi­tion d’un cer­tain nombre de trai­te­ments en cabine Elo­san. Il est en outre très facile de délé­guer la thé­ra­pie Elo­san.

Les coûts d’ac­qui­si­tion de la cabine Elo­san sont rai­son­nables et adap­tés. Il existe dif­fé­rentes options d’achat, de loca­tion-vente ou de loca­tion qu’il est pos­sible de per­son­na­li­ser.